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地区:西班牙
  类型:黑白
  时间:2025-05-16 02:51:41
剧情简介

秋仪(王姬 饰)和小萼(何赛飞 饰)本是青楼女子,日本解放后,日本她们“这样的”女人被送往了劳动营进行劳动改造,忍受不了劳动营里辛苦的生活,秋仪翻墙逃跑了,身无分文走投无路的她决定投奔自己的老相好蒲家伟(王志文 饰)。在蒲家伟的家里,秋仪过着寄人篱下的生活,随着时间的推移,她发现本来对自己一往情深的蒲家伟在压力和利益面前,也开始变得言不由衷了,最终,秋仪负气离开了老浦,出家当起了尼姑。让秋仪没有想到的是,蒲家伟竟然和小萼走到了一起,他们不仅结了婚,小萼的腹中亦怀上了蒲家伟的孩子。遭到了昔日好友的背叛,秋仪却并不愤怒。

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明星主演
刘以达
魏晨
终极三国
最新评论(411+)

吴忠明

发表于7分钟前

回复 :莉娜(娜塔莉·波特曼 Natalie Portman 饰)是一名生物学家,一年前,她的丈夫凯恩(奥斯卡·伊萨克 Oscar Isaac 饰)在参加一项秘密任务后神秘失踪,这一年间,莉娜一直生活在悲伤之中。某天,失忆的凯恩忽然出现在了莉娜的面前,之后晕倒被送入了医院。在那里,莉娜遇见了文崔斯博士(詹妮弗·杰森·李 Jennifer Jason Leigh 饰)。博士告诉莉娜,凯恩被派往了一块被“闪光”笼罩的未知区域,三年间,无数的队伍被派往区域内进行勘探,只有凯恩一人活着回来了。不仅如此,“闪光”正在不断的扩大。为了查明事情的真相,莉娜自愿加入了下一批被派遣的队伍之中,和她一同前往的,除了文崔斯博士外,还有安雅(吉娜·罗德里格兹 Gina Rodriguez 饰)和乔茜(泰莎·汤普森 Tessa Thompson 饰)。


高晨维

发表于7分钟前

回复 :皮欧特尔是一个谦虚的农民,生活在一个贫穷的村庄,在一个不确定的久远的时代。他想娶可爱的皮多卡,但她严厉的父亲不允许。幸运的是,淘气的恶魔巴萨鲁夫在这片土地上游荡,并向他提出一个交易……


余宪忠

发表于2分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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