39岁的于红兵(淳于珊珊 饰)是一名老龄三流拳手,亚洲战绩败多胜少。拳手经纪人培养新人时往往选择他来“练手”,亚洲他的失败能刷新对方的战绩。女儿小鱼(徐丽萩莎 饰)即将跟随前妻移民,老于颇为苦闷。小鱼和老于的女朋友陈青梅(黎心韵 饰)水火不容,老于多次说和未果,陈青梅很是委屈。老于退役,全身心面对家庭生活,却发现家务事比擂台上的打斗更难应付。最终,女儿移民、女友离去,于红兵孑然一身。于红兵在擂台上复出,因为,制造“失败”是他仅存的价值。
39岁的于红兵(淳于珊珊 饰)是一名老龄三流拳手,亚洲战绩败多胜少。拳手经纪人培养新人时往往选择他来“练手”,亚洲他的失败能刷新对方的战绩。女儿小鱼(徐丽萩莎 饰)即将跟随前妻移民,老于颇为苦闷。小鱼和老于的女朋友陈青梅(黎心韵 饰)水火不容,老于多次说和未果,陈青梅很是委屈。老于退役,全身心面对家庭生活,却发现家务事比擂台上的打斗更难应付。最终,女儿移民、女友离去,于红兵孑然一身。于红兵在擂台上复出,因为,制造“失败”是他仅存的价值。
回复 :許多外國移民都會來到一家五金店前排隊,只為了替一些未曾謀面的人工作,賺取微薄的生活費。其中有些沒有工作簽證的人被誘拐到莉絲羅德斯家中工作,他們萬萬沒想到在前面等待的是可怕的命運。
回复 :《水镇丝情》描写了1981年初春的一天,浙江第二人民医院医师办公室内,前来接丝厂厂长徐妹子出院的张小白,得知徐妹子患癌症已到了晚期的消息后,悲痛万分。归途中,徐妹子看到这壮丽的山河,听着江面上长鸣的汽笛,一股强烈的生命力冲击着她的心扉,她坦诚地告诉张小白,不要再向她隐瞒病情的真相了,并要小白替她保密。徐妹子要在有限的时间内,承担生产一批高品位的生丝6A级的任务。但小白还是向季副厂长做了汇报。徐妹子回到母亲家中,她为了在生命的最后几个月,给儿子小波波更多的母爱,决定把孩子带在身边。她强忍痛苦,拒绝了一直在苦苦追求她的工业局主任王家烈,带着孩子和来厂实习的大学生崔燕,返回了水镇丝厂。回厂后,她又婉言拒绝了老中医要她休息的建议。试制6A级的工作开始了,徐妹子亲自把关,担任了辅导团团长。当她提拔女工八凤为副团长时,遭到了张小白的反对。原来,耿直的八凤曾给张小白写过一封求爱信,信被大伙公开后,小白十分窘迫。徐妹子做了大量思想工作,努力促成了他们俩的和好。懂事的小波波每天都买好饭放在桌上,等着妈妈的归来。徐妹子回家看到这些,想到自己不久将与孩子永别, 不禁抱住孩子失声痛哭,经过日夜苦干,第一批丝样送省城检验,没能达到6A级标准。徐妹子在分析了失败的原因后,准备重新试制。在给师傅上坟的路上,她想趣了师傅生前的嘱咐,更坚定了她试制6A级的决心。季副厂长为减轻徐妹子的工作,走上生产第一线,全力支持6A级的生产。病痛的频繁发作,使徐妹子意识到自己的生命的时间已所剩无几,她照完最后一张合影后,把孩子送到外婆家。在家里,她像小时候一样,为母亲捶背。终于,徐妹子倒在了工作岗位上,当她被送进医院,领导和同志们来看望她时,她终于听到了6A级试制成功的消息。赵有亮:中国影视、话剧演员。原籍山东蓬莱,生于上海。1966年毕业于上海戏剧学院表演系。后去北京。历任中国儿童艺术剧院演员,副院长、中央实验话剧院院长。1979年在影片《我的十个同学》中扮演角色。吴海燕:吴海燕自六岁起进入福建省戏曲学校京剧班学习,她工青衣,花旦,尤以刀马旦见长。她的京剧表演动作优美,唱腔圆润,京剧表演的训练为她日后在银幕上的表演打下了坚实的基础。1974年,吴海燕在北影厂影片《海霞》中扮演女主角海霞,一位英姿飒爽的女民兵。《海霞》在群众中引起一定反响。“文革”后,吴海燕在影片《绿海天涯》中饰演一名为祖国科研事业牺牲在莽莽丛林中的女青年鲁琨。1978年吴海燕进入上海电影制片厂,参予演出了《等到满山红叶时》,扮演一个农村长大的姑娘杨芙。表演中她注重真切细腻,层次分明地展现复杂丰富的感情变化,其中尤以“哥哥”去世一场戏为佳。之后,在影片《白莲花》中扮演女匪首白莲花,将人物外表豪放坚强,内心细腻敏感的特征演绎得曲尽入微。1981年,吴海燕在《检查官》>中扮演一个戏不多的配角,一位致残的舞蹈演员。在表演出她充分体验角色不幸致残的深切痛苦和对舞台生活的同衷眷恋,通过表情准确揭示人物心情。进入九十年代,吴海燕仍活跃在银屏上,不断参予电视剧的拍摄,如《卖大饼的姑娘》、《浣纱女的传说》、《伴飞》、《你好,太平洋》等。
回复 :Reminiscences of a Journey to Lithuania de Jonas MekasÉtats-Unis, 1972, 16mm, 82’, coul., vostfmusique : Konstantinas Ciurlionis« Cette œuvre est composée de trois parties. La première est faite de films que j’ai tournés avec ma première Bolex à notre arrivée en Amérique, surtout pendant les années 1950 à 1953. Ce sont les images de ma vie, de celle d’Adolfas, de ce à quoi nous ressemblions à l’époque ; des plans d’immigrants à Brooklyn, pique-niquant, dansant, chantant ; les rues de Williamsburg. La seconde partie a été tournée en août 1971, en Lituanie. Presque tout a été filmé à Seminiskiai, mon village natal. On y voit la vieille maison, ma mère (née en 1887), tous mes frères célébrant notre retour, les endroits que nous connaissions, la vie aux champs et autres détails insignifiants. Ce n’est pas une image de la Lituanie actuelle, ce sont les souvenirs d’une "Personne déplacée" retrouvant sa maison pour la première fois après vingt-cinq ans. La troisième partie débute par une parenthèse sur Elmshorn, un faubourg de Hambourg, où nous avons passé un an dans un camp de travaux forcés pendant la guerre. Après avoir fermé la parenthèse, nous nous retrouvons à Vienne avec quelques-uns de mes meilleurs amis, Peter Kubelka, Hermann Nitsch, Annette Michelson, Ken Jacobs. Le film s’achève sur l’incendie du marché aux fruits de Vienne, en août 1971. Le son : je parle, pendant une grande partie du film, de moi-même en tant que "Personne déplacée", mes rapports avec la Maison, la Mémoire, la Culture, les Racines, l’Enfance. Il y aussi quelques chansons lituaniennes chantées par tous les frères Mekas. »Jonas Mekas« Mekas n’a donc pas choisi l’exil. Les circonstances l’y ont contraint. Il y a deux sortes de voyageurs, rappelle-t-il à propos de Reminiscences of a Journey to Lithuania, ceux qui partent de leur plein gré à la rencontre du monde pour chercher fortune ou simplement aller voir ailleurs si l’herbe est "plus verte" et qui, à la manière du Wilhelm Meister de Goethe font de leur voyage un roman d’apprentissage, et puis il y a les autres, les déracinés, ceux qui sont arrachés de force à leur pays comme de la mauvaise herbe et qui semblent condamnés au ressassement de la nostalgie, au travail infini du deuil. »Patrice Rollet, « Les exils de Jonas Mekas », Les Cahiers du cinéma n° 463, janvier 1993