讲述一只初为熊母的北极熊带孩子的故事,神马在这个挑战日益艰难的世界中,年幼时的记忆帮助如今的它做好当母亲的准备,每一天都是新的冒险。
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回复 :Min Ji-suk runs a "ticket bar"where customers can purchase tickets for certain "services"in the town of Sokcho in Gangwon-do. She hires Miss Yang (Ahn So-young), Miss Hong (Lee Hye-young), and Se-young (Jeon Se-young) through the employment agency. Miss Yang and Miss Hong, who are well experienced in this type of business, are used to accepting propositions from customers. But Se-young, who is dating a college student named Min-su, rejects all requests for sexual favors. When Min-su professes to having problems with his tuition and finances, Se-young reassures him that she will procure the necessary funds for him. When the bar's clientele begins to dwindle because of Se-young, Ji-suk reprimands her severely. Se-young develops a close relationship with a Captain Pak and even allows him to sleep with her. She asks Captain Pak to find Min-su employment on a boat, but when Min-su comes to Sokcho for his new job, he sees how Se-young has been making her living. Shocked, he turns his back on the job and leaves. When he eventually returns to Sokcho, he scathingly denounces Se-young's morality and severs their relationship. Decades ago, Ji-suk had stumbled into the bar business in a desperate effort to support her husband, who was serving time in prison; she later left him voluntarily out of shame and moral degradation. Concerned that Se-young will end up with the same fate, Ji-suk asks Min-su to meet with her. She begs him not to abandon Se-young, but he flatly refuses. Ji-suk reacts by pushing Min-su into the sea, and suffers a mental breakdown that lands her in a psychiatric institution.
回复 :《姐姐》是一部以“心灵的洗礼和觉醒”为主题的电影,于2004年开始拍摄。影片讲述了一个在富足家境中长大的城市小孩,在随父亲乡下探亲的过程中,认识了隔壁邻居沉默寡言“姐姐”,从开始调皮捉弄她,到逐渐了解她,被她所生活的贫困环境所震惊,内心接受的一场洗礼,孩童善良的本质逐渐展现。影片运用了大量的长镜头,是一部很抒情的作品,在马来西亚、新加坡、泰国等国家先后上映,获得了广泛好评。也是在这部作品中,奠定了谢家良导演作品的温情主题,并在以后的作品中延续下去。
回复 :《孟山都公司眼中的世界》《未来的收获》导演Marie-Monique Robin2014年新作Le nouveau documentaire de Marie-Monique Robin est avant tout l’histoire d’une cassure. Entre les décideurs politiques et une partie de la population réticente à se laisser imposer les doxas libérales, les visions du monde tel qu’il doit être mené semblent irréconciliables. Lorsque les premiers ne jurent que par la croissance, répétant le terme comme une formule incantatoire, les seconds espèrent en d'autres solutions et réfutent le productivisme et la consommation à tout prix. Les experts intervenant dans le film sont formels : sous la forme qu'elle a connue au XXe siècle, la croissance est terminée, elle ne reviendra pas. De nombreux paramètres ne leur laissent aucun doute, dont la fin de l’ère des énergies bon marché ou la dépendance croissante à la dette.Fous et insoumis"Celui qui pense qu’une croissance exponentielle infinie est possible dans un monde fini est soit un fou soit un économiste" déclare un... économiste, non sans humour. Alors, pendant que les États s’enfoncent dans la crise, des insoumis créent les prémices d’une société fondée sur la sauvegarde écologique et le développement durable. Avec Sacrée croissance !, la réalisatrice présente une sélection d’initiatives réussies et de modèles alternatifs viables. Son film élargit ainsi le champ des possibles en montrant comment on peut réfuter en action, et pas seulement en paroles, le modèle économique dominant. Avec une idée force : face au gaspillage mondial, la réponse doit être locale et solidaire. À Toronto, une coopérative de fermiers produit des légumes bio près du centre-ville et vise la souveraineté alimentaire. À Rosario (Argentine), on lutte contre l’exclusion sociale en fertilisant d'anciennes décharges pour embaucher des maraîchers débutants. Certains villages népalais s’approchent de l’autosuffisance énergétique grâce au biogaz et à la micro-hydro-électricité. Au Brésil ou en Bavière, des banques communautaires et des monnaies locales bouleversent le rapport à l’argent d’un public qui se fait "prosommateur" (producteur et consommateur). Quant au Bhoutan, il développe une politique publique révolutionnaire instaurant le concept du "Bonheur national brut" (BNB). "L’abondance matérielle finira par s’arrêter", rappelle un des intervenants. Et c'est avant qu'il faut changer de paradigme économique, insiste Marie-Monique Robin.