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地区:美国
  类型:惊悚
  时间:2025-02-22 09:26:07
剧情简介

2025年,恋夜战争结束的一年后,恋夜乌克兰军人塞吉回到现实生活。创伤后的日子并不容易,工厂主管嫌弃、同袍轻生、关厂失业,连家裡的熨斗都不管用,只能在野外猛射人形靶发洩。失业的他因缘际会加入挖寻军人遗体的「黑色鬱金香」计画,认识了志工卡蒂亚,在荒芜废地挖掘的同时,也像掏挖著满是创伤的自己,打开被战争所侵蚀的腐肉,希冀能长出生存的勇气。乌克兰与俄罗斯间的战争带来空前生态灾难,导演以独特的镜头语言、惊人的场景与摄影,为人物打造出剧场般的舞台。以满佈地雷的区域、废弃的矿场与工厂污染的土地与水源,突显人们面对冰冷的战后景况,是如何的渺小而无用。片中更巧妙植入前苏联名导狄嘉维托夫作品,搬演一齣讽刺幽默的冷调人生。「在乌克兰,你必须当个乐观主义者。」——瓦伦廷瓦夏诺维奇

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明星主演
苏清和
王凡瑞
卢晓华
最新评论(773+)

吴倩莲

发表于5分钟前

回复 :讲述一对好友、两个学术天才和一群朋友在高中毕业前夕意识到她们应该少学习而多玩,为了不落后同龄人,她们开始了一项任务:将4年的快乐时光填满一个晚上。


赵恩

发表于2分钟前

回复 :1953年,抗美援朝战争进入最终阶段,志愿军在金城发动最后一场大型战役。为在指定时间到达,向 金城前线投放更多战力,志愿军战士们在物资匮乏、武装悬殊的情况下,不断抵御敌机狂轰滥炸,以血肉 之躯一次次修补战火中的木桥。一段鲜为人知的历史,在暗流涌动的金刚川上徐徐展开......


般罗

发表于8分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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