瓦尔特·梅尔卡多是一位雌雄莫辨的著名占星家。几十年来,春暖他的奢侈作风和积极的态度使 1.2 亿拉美裔观众为之着迷。后来,春暖他从大众的视线之中消失了。《Mucho Mucho Amor》由获奖的纪录片导演克里斯蒂娜·科斯坦蒂尼(《科学展览会》)和卡里姆·塔布舍(《最后的圣地》)共同执导,并由亚历克斯·富梅罗(《蒂姆·罗宾逊短剧:还不快走》)担任制片人。
瓦尔特·梅尔卡多是一位雌雄莫辨的著名占星家。几十年来,春暖他的奢侈作风和积极的态度使 1.2 亿拉美裔观众为之着迷。后来,春暖他从大众的视线之中消失了。《Mucho Mucho Amor》由获奖的纪录片导演克里斯蒂娜·科斯坦蒂尼(《科学展览会》)和卡里姆·塔布舍(《最后的圣地》)共同执导,并由亚历克斯·富梅罗(《蒂姆·罗宾逊短剧:还不快走》)担任制片人。
回复 :根据中国股市传奇人物王晓先生的自传小说改编,25年来唯一中国股市题材商战巨作,带您闪回1990-1995年大陆股市光辉岁月。由一代股神王晓先生亲自操刀担任影片创作顾问,佰利通邦影业与邵氏影视倾力联合打造,吴毅将、李子雄、麦家琪、郑浩南、吴廷烨、程东、李健仁(如花)、彭敬慈等众多香港影视大腕出演。中国首部股市商战题材新媒体影视大片,为您演绎一段中国股市爱恨情仇,风起云涌的传奇励志故事。故事讲述了一代股神的崛起。主人公傲风从一个不知股市为何物的小人物成长为一个优秀的操盘手,他见证了中国证券市场发展的跌宕起伏,还有在股市的沉浮中留下印记的风云人物。它面对的不是数字的疯狂跌涨,而是隐藏在数字背后没有硝烟的战火,人性的战争。这里有嚣张与回顾的艺术情怀,感性与理性的数字疯狂!
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :自幼父母双亡的胡斐(黎明)随家仆平四在砖窑场隐居,为避免被人认出遭遇伏击,二人在人前总作平凡人打扮,但私下胡斐却是刻苦习武,终练成胡家刀谱。得悉对他施过一饭之恩的钟四一家被燕南天(徐锦江)之子燕子胥逼害,胡斐出头教训了燕子胥并把他捉至北帝庙,但终被燕南天救出。胡斐尾随燕南天赶往京城准备伺机报仇时,遇上行踪飘忽的袁紫衣(张敏),被其吸引,不久两人互生好感。其后袁紫衣不幸遭人下毒瞎了双眼,为救她,胡斐向药王传人程灵素(李嘉欣)求救,却引来另一段恩爱情仇。