朝梦夕阳行
地区:英国
  类型:犯罪
  时间:2024-11-24 10:07:38
剧情简介

朝梦Mary, a poor farm girl, meets Tim just as word comes that war has been declared. Tim enlists in the army and goes to the battlefields of Europe, where he is wounded and loses the use of his legs. Home again, Tim is visited by Mary, and they are powerfully attracted to each other; but his physical handicap prevents him from declaring his love for her. Deeper complications set in when Martin, Tim's former sergeant and a bully, takes a shine to Mary.

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明星主演
冯玮君
中尾谕介
李子璇
最新评论(762+)

甄秀珍

发表于5分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


林冰冰

发表于4分钟前

回复 :屠宰厂司机兰德执念找寻失踪多年的“妻子”阿琳,不惜悬赏重金。护林警察和单亲妈妈尚飞是兰德的租客,帮助兰德寻妻无果,劝兰德放弃执念。而小混混阿哲因女友丽丽和阿琳容貌相似,意图设计欺骗兰德换取悬赏金还清赌债。兰德为筹措赏金,跟随屠宰场老板老尤误入盗猎团伙,遇到盗猎惯犯老八等暴徒,经历盗猎生死局,与虎对峙,最终放弃执念,对抗盗猎分子,完成小人物英雄式成长,最终暴徒也被尚飞一举擒获。


方迪

发表于3分钟前

回复 :After the long career of lawman that made him a legend, Wyatt Earp deciedes to quit and join his brothers in Tombstone, Arizona. There he would see them in feud with Clantons, local clan of thugs and cattle thieves. When the showdown becomes inevitable, the help will come from Doc Holliday, terminally-ill gambler who happens to be another Wild West legend.


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