离家出走的爱新觉罗·天恩回到杭州,亚洲因为一块手绢与叶星辰一见钟情。天恩的哥哥天熙害死了叶星辰的父亲,亚洲叶星辰与王府有不共戴天之仇。天恩骗星辰他是罗觅欧,后来被天熙戳穿,星辰在悲伤之下用刀伤了他。后来在天恩的感化下,星辰终于接受了他。天恩愿把爵位让给天熙,要求王爷答应他和星辰的婚事。王爷同意了他。星辰到王府偷令牌,被天熙发现,差点被他侮辱。后来天恩救了她,可是她和哥哥被关起来。天熙接受爵位当天,天恩带领起义军包围了亲王府,天熙用枪顶住王爷要挟天恩,王爷感慨一生,用枪自杀。
离家出走的爱新觉罗·天恩回到杭州,亚洲因为一块手绢与叶星辰一见钟情。天恩的哥哥天熙害死了叶星辰的父亲,亚洲叶星辰与王府有不共戴天之仇。天恩骗星辰他是罗觅欧,后来被天熙戳穿,星辰在悲伤之下用刀伤了他。后来在天恩的感化下,星辰终于接受了他。天恩愿把爵位让给天熙,要求王爷答应他和星辰的婚事。王爷同意了他。星辰到王府偷令牌,被天熙发现,差点被他侮辱。后来天恩救了她,可是她和哥哥被关起来。天熙接受爵位当天,天恩带领起义军包围了亲王府,天熙用枪顶住王爷要挟天恩,王爷感慨一生,用枪自杀。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :波兰华沙有一个剧团,其中有一名演员Bronski(Tom Dugan 饰)极其擅长模仿德国纳粹领袖希特勒。Maria Tura(卡洛·朗白 Carole Lombard 饰)和Joseph Tura(杰克·本尼 Jack Benny 饰)是剧团里的一对夫妻,剧团最近正在上演《哈姆雷特》。演出间隙,Maria收到了一束鲜花,来自一个年轻的飞行员Stanislav Sobinski(罗伯特·斯塔克 Robert Stack 饰),趁着Joseph在舞台上念著名台词“to be or not to be”的时候,她安排Sobinski进了后台,两人情愫暗生。然而不久后,纳粹侵略波兰,Sobinski只能前往作战。Sobinski所在队伍的领导是Siletsky教授,Sobinski想让Siletsky帮忙带封信给Maria,然而Siletsky却连著名女演员Maria都不认识,于是Sobinski开始对Siletsky产生了怀疑。Sobinski为了追踪Siletsky又回到华沙。而另一方面,Maria却被两个纳粹士兵带去见Siletsky,Siletsky对Maria也是心生爱慕,更希望Maria成为纳粹在波兰的间谍。Maria借故逃回家,却在家中意外的碰到了Sobinski和她的丈夫Josef,这段三角关系该如何收场,他们又要如何联手对抗纳粹?
回复 :三千年前,商末,昏君纣王(梁家辉 饰)受妖妃妲己(范冰冰 饰)蛊惑,联手申公豹(古天乐 饰),试图召唤黑暗力量降生灭世黑龙,一时间妖孽横行,民不聊生……为阻止昏君灭世,姜子牙(李连杰 饰)命雷震子(向佐 饰)、哪吒(文章 饰)与杨戬(黄晓明 饰)联手寻找光明之剑斩妖除魔,并协助武王引领西岐大军攻打朝歌。不料妲己施法令姜子牙中了逆生咒,朝歌大战迫在眉睫,黑龙降世已成定局,天下再度陷入危机……